Introduction
Dans
un monde confronté au
changement climatique et à la perte de la
biodiversité, il
est important d’apporter des solutions.
Lorsque
nous comprenons qu’il est possible de protéger la nature en
changeant notre mode de vie, nous pouvons retrouver l’espoir d’agir
et de créer un environnement plus sain, pour nous-mêmes et pour les
autres.
De
simples gestes peuvent avoir un effet papillon avec des conséquences
majeures. C’est le message que nous souhaitons faire passer, avec
cette méthode d’apprentissage conçue
pour sauvegarder
la planète en
préservant
la biodiversité et en
garantissant
la durabilité des ressources naturelles dans
l’intérêt des générations futures.
Un monde hostile
Il y a beaucoup de choses dans ce monde qui sont dénuées de sens, comme la guerre, la famine, la pollution, la maltraitance animale, et tant d’autres. Chaque jour, nous entendons parler de conflit et de criminalité au point de croire que la vie est une lutte perpétuelle.
Malgré les progrès technologiques, la mobilisation et les moyens utilisés pour tenter d’apporter des solutions, les risques environnementaux semblent s'aggraver.
Dans les grandes villes, certaines personnes ont tendance à se déconnecter de la nature et, par conséquent, cessent de s’en sentir responsable. Si les reportages et les documentaires animaliers sont là pour nous informer, ils ne remplaceront jamais le véritable contact avec l’environnement. Ceux qui n’ont jamais vu une forêt, un paysage de montagne ou la faune dans son habitat naturel, ont peu conscience de ce que cela peut leur apporter.
Ils ne savent pas non plus que nos choix ont beaucoup plus d’impact que nous le croyons. Le moindre geste en faveur de l’environnement peut faire pencher la balance.
Alors existe-t-il une loi naturelle qui pourrait augmenter nos chances de vivre dans un environnement propre, sain et durable1 ? Tout à fait. C’est ce que nous appelons le principe d’Écologie coopérative.
1 – En 2021, le Conseil des droits de l'homme des Nations Unies a reconnu que disposer d'un environnement propre, sain et durable est un droit humain
Une approche « gagnant-gagnant »
Lorsqu’une personne prend une mauvaise décision, c’est souvent parce qu’elle n’a pas trouvé d’autres façons de résoudre un problème. Or, que ce soit un être humain ou un animal, la capacité de gérer une situation sans nuire aux autres est déterminante pour son bien-être, son épanouissement et sa longévité.
Il va de soi que tout le monde gagne à travailler ensemble pour le bien de tous. C’est une coopération saine et efficace, aussi bien pour la société que pour la planète.
Un principe fondamental
Pour bien comprendre comment le principe d’Écologie coopérative s’applique dans la vie, nous allons commencer par définir certains termes :
Coopératif – Interaction dans laquelle chacun se joint à l’effort d’autrui pour atteindre un objectif. Exemple : « Dans une ruche, les abeilles ont chacune leur propre fonction, mais la production du miel est un travail coopératif. »
Écologie – Ce mot vient du grec « oikos » (maison, habitat) et « logos » (science, connaissance). « Écologie » signifie l’étude de notre maison, la Terre. Elle consiste à observer les relations et interactions entre les organismes et leurs habitats.
Écosystème – Le mot « écosystème » désigne ce qui, dans la nature, possède un ensemble d’éléments interconnectés (plantes, animaux, microbes, climat, paysage) et qui fonctionnent comme un système (forêt, océan). Un autre exemple d’écosystème pourrait être notre propre maison, en tenant compte du bâtiment, de tout ce qui se trouve à l’intérieur et autour, que ce soit des personnes, des animaux ou des sources d’énergie. Chaque endroit de la planète fait partie d’un ou plusieurs écosystèmes et dépend de leurs composants.
Survie – Lorsque nous utilisons ce mot, nous entendons « la chance de vivre une longue et belle vie », pas « la tentative de vivre tant bien que mal ». Le véritable potentiel de survie à long terme provient de la santé de tous les composants d’un écosystème.
L’« Écologie coopérative », créée par le Dr Lawrence Anthony, est l’étude des écosystèmes et de leurs composants (humains, faune et flore) pour voir si leurs interactions génèrent des avantages mutuels. Dans le cas contraire, il est essentiel de trouver des solutions pour que le potentiel de ces écosystèmes ne soit pas réduit.
Dans la mesure où un être vivant, quel qu’il soit, agit de façon constructive, sa durée de vie et sa santé en sont accrues, mais si ses actions nuisent aux autres et à la nature, son potentiel de survie est réduit.
Ce principe de base de l’Écologie coopérative est d’une importance capitale. Il permet de comprendre que l’avenir de l’homme dépend de la santé de l’écosystème dans lequel il évolue. Il est donc vital de savoir comment prendre soin de la nature et des animaux qui la peuplent. Dans une région où la biodiversité prospère, la vie y est plus agréable et plus saine.
Toutes les espèces cherchent à surmonter l’adversité et perpétuer leur lignée. En tant qu’être humain, nous devons nous assurer que les générations futures vivront dans un environnement sain et équilibré.
Si
nous réussissons à inculquer ce principe et à le mettre en
pratique, nous pouvons créer un avenir plus durable pour notre
planète.
L’Écologie coopérative et la famille
Une famille est en soi un écosystème. On peut tous avoir une idée différente de la famille idéale, mais voici quelques exemples qui pourraient faire l’unanimité :
– tous les membres de la famille devraient se sentir bien et en sécurité dans la maison ;
– chacun devrait manger à sa faim et être en bonne santé ;
– chacun devrait comprendre le principe d’Écologie coopérative et participer avec plaisir aux tâches ménagères ;
– chacun devrait essayer d’atteindre ses objectifs personnels et ceux de la famille en général.
Cela peut sembler difficile à réaliser, mais si les membres d’une famille se réunissaient pour en discuter, ils trouveraient certainement comment y parvenir.
L’Écologie coopérative et le corps
Le corps est composé de milliards de bactéries, d’organismes unicellulaires et de champignons microscopiques. Si certains sont associés à des maladies, la majorité d’entre eux nous maintiennent en bonne santé. Ils renforcent le système immunitaire, réduisent le risque de problèmes cardiovasculaires et ont même une incidence sur notre poids.
Il est donc nécessaire de les nourrir correctement, sachant qu’une grande variété d’aliments favorise la croissance des microbes dans le corps.
Par
ailleurs, une étude scientifique a montré une interaction entre une
femme enceinte et le fœtus. En se développant dans l’utérus,
l’embryon crée des cellules souches qui réparent les zones
défectueuses du corps de la mère qui, en retour, lui permet de se
développer en toute sécurité.
Voilà
deux excellents exemples d’Écologie coopérative à l’œuvre.
L’Écologie coopérative et la résolution
des problèmes environnementaux
Exemple de problème environnemental :
Au début du siècle dernier, les agriculteurs d’Amérique du Nord furent confrontés aux attaques de loups. Pendant des milliers d’années, ces prédateurs chassaient les bisons des plaines. Après l’extinction du dernier bovidé sauvage, les loups se sont tournés vers le bétail. Le gouvernement, avec les éleveurs, décida de les exterminer. Pendant 70 ans, ils ont poursuivi une politique « anti-loups ». Une fois les loups éradiqués, la population de cerfs canadiens est devenue tellement importante que la végétation a quasiment disparu. Avec l’érosion, le sol s’est dégradé, les buissons et les arbres sont morts.
Pour chasser les wapitis, une meute de loups a été réintroduite. Les cerfs se sont alors réfugiés dans les collines du parc national de Yellowstone et la végétation a pu se régénérer.
L’herbe et les arbres, majoritairement des saules et des trembles, ont recolonisé le parc pour le plus grand bonheur des oiseaux et des castors. Et qui dit castors, dit milieux aquatiques renaturés puisqu’ils créent des barrages. Ces retenues d’eau ont permis le retour des loutres, des canards, des rats musqués, des poissons, ainsi que des amphibiens et des reptiles dépendants de milieux aquatiques.
Les loups ont aussi tué des coyotes, permettant aux populations de lapins et de souris de se multiplier. Les renards, les rapaces, les belettes et les blaireaux sont revenus, ainsi que les charognards, comme les aigles, les corbeaux et les ours attirés par les carcasses délaissées par le carnassier.
Voilà un parfait exemple d’Écologie coopérative. Nous connaissons désormais l’intérêt des loups dans l’écosystème et nous savons avec certitude que le respect des chaînes alimentaires est essentiel au fonctionnement de la nature.
En ce qui concerne le « réseau alimentaire du sol », il décrit la communauté d’organismes vivant dans le sol et leurs interactions avec les plantes.
Des millions de micro-organismes vivent et se reproduisent dans quelques grammes de terre. Ils améliorent la fertilité globale en se déplaçant sous terre. Cela permet une saine aération, un meilleur drainage, moins de compaction et une circulation des éléments nutritifs dans le sol.
Quand le réseau alimentaire du sol est sain, les avantages sont les suivants :
– il garantit la teneur en nutriments dont les plantes ont besoin ;
– il défend les plantes contre les parasites et les maladies ;
– il maintient la structure du sol et empêche l'érosion ;
– il permet une saine infiltration et rétention de l'eau dans le sol ;
– il permet aux plantes de développer des systèmes racinaires denses, qui non seulement les aident à accéder à l'eau (même en cas de sécheresse), mais les rendent plus résistantes ;
– il résout le problème des plantes indésirables ;
– il évite l’apport d'engrais chimiques et de produits phytosanitaires ;
– il permet d’obtenir des produits riches en nutriments pour les humains, le bétail et la faune.
Autre exemple de problème environnemental :
Une ferme laitière australienne s’est retrouvée au bord de la faillite. L’agriculteur dépensait 200 000$ par an en engrais chimiques et en pesticides pour cultiver le foin de ses vaches, détruisant au passage le réseau alimentaire du sol. Pour que les pâturages restent productifs, le fermier était obligé de ressemer chaque année ses prairies pour un coût annuel de 20 000 $, mais l’herbe ne repoussait pas assez vite et le bétail devait être nourri au foin, même en été. De plus, en raison de l’exposition des animaux aux pesticides et aux engrais chimiques, les frais vétérinaires étaient élevés.
Pour restaurer le réseau alimentaire du sol de la ferme, il embaucha un spécialiste de l’agriculture biologique pour le conseiller. Son approche agroécologique a réduit de moitié les apports en engrais. Trois ans plus tard, il n'y en avait plus besoin. Ses pâturages se sont naturellement couverts de trèfles, une plante très appréciée par les vaches ; la densité de l’herbe et sa teneur en nutriments correspondaient aux besoins des animaux.
La qualité du sol étant désormais restaurée grâce à un niveau d'humidité approprié et un système racinaire fort et sain. L'herbe s’est mise à pousser rapidement. Le fermier a ainsi pu y faire brouter ses vaches sans avoir besoin de foin.
Cette solution d’Écologie coopérative montre comment la compréhension et le travail, réalisés conjointement avec les formes de vie qui nous entourent, présentent d’énormes avantages non seulement pour les plantes, les animaux et l’environnement naturel, mais aussi pour les humains.
En prenant soin des micro-organismes du sol, le fermier a permis de rendre l’entreprise économiquement viable, dans un environnement florissant, avec un bétail en bonne santé produisant suffisamment de lait pour la communauté.
Dernier exemple illustrant le principe d’Écologie coopérative :
Les Massaï, un peuple semi-nomade du Kenya, sont très attachés à leurs troupeaux et les emmènent avec eux dans leurs déplacements. La nuit, ils les protègent des prédateurs en les encerclant de buissons épineux. Mais un jour, alors que les zèbres s’étaient aventurés près de leur campement, ils ont attiré des lions qui se sont attaqués au bétail.
Bien que les Massaï accordent une grande valeur à ces félins, symbole de virilité, il n’était pas question qu’ils dévorent leurs bêtes et décidèrent de les tuer. Un jeune Kényan, qui cherchait comment protéger les troupeaux, eut l’idée de brûler les buissons pendant la nuit, mais ne réussit qu’à éveiller l’attention des félins. Il fabriqua des épouvantails, en vain. Les tribus continuèrent à tuer les fauves qui s’attaquaient au bétail.
Une nuit, alors que le jeune Kényan faisait sa ronde avec une lampe de poche, il remarqua que les lions ne s’étaient pas approchés. Il en déduisit que les carnivores avaient peur de la lumière en mouvement. Il fabriqua alors un circuit électrique avec deux lumières connectées à une batterie qui s’allumaient en alternance. Les lions restèrent à distance, croyant que les lumières clignotantes étaient les yeux d’un animal féroce.
En
pensant « comme un lion », le jeune homme a pu trouver
une solution pour sauver le bétail ainsi que les félins. Depuis,
cette méthode simple et ingénieuse a été reprise par d’autres
tribus.
Écologie coopérative : un outil d’évaluation
Les exemples d’utilisation sont infinis car chaque action, peut être évaluée à sa valeur réelle rien qu’en se demandant si la décision que l’on envisage de prendre est bonne pour l’environnement.
Si l’on déverse des déchets toxiques dans la nature, cela peut éviter des frais de déchetterie, mais une fois l’eau de la rivière contaminée, les problèmes de santé qui en découleront seront plus graves qu’une simple facture à payer.
La valeur réelle d’un produit, d’un médicament ou bien d’un engrais peut être estimée grâce à l’utilisation des principes d’Écologie coopérative. Bien qu'un produit puisse être rentable à court terme, l’entreprise doit se demander quelles seront ses conséquences pour la santé et le bien-être des gens, des animaux et de la nature. Après évaluation, certains produits chimiques s'avéreront beaucoup plus dangereux que prévu.
La
production marchande des entreprises étant déterminée par les
dirigeants, il est essentiel qu’ils connaissent les principes
d’Écologie coopérative pour prendre les bonnes décisions.
Exercices d’application
Pour
vraiment saisir l'importance de l’Écologie coopérative et savoir
comment l’appliquer, rien de tel que quelques exercices.
Chacun
est un tremplin vers le suivant et, même si on pense déjà tout
savoir, ils doivent être abordés avec un regard neuf et un désir
de découvrir ce qu’ils peuvent apporter de nouveau.
Exercice n°1
A) Choisissez une personne que vous connaissez bien : un membre de la famille ou un ami.
B) Demandez-vous ce qu’elle fait (ou a fait) pour rendre votre vie plus épanouie, plus facile et plus saine. Prenez votre temps et rédigez une liste complète et détaillée.
Par exemple, au lieu d’écrire simplement « Elle me prépare à manger », notez en détail tout ce que cela implique. Cela peut être : « Elle travaille 40 heures par semaine pour gagner de l’argent et en dépense une partie pour faire les courses. Elle porte les paquets à la cuisine, les range dans le réfrigérateur, établit les menus, prépare et sert les repas. »
C) À présent, faites une liste complète de ce que vous avez fait pour lui rendre la vie plus facile et plus saine. En y réfléchissant bien, vous découvrirez que vous l'avez aidée au-delà de ce que vous pensiez. Cela peut être : « Je l’aide à faire la vaisselle et à mettre la table, je la fais rire, etc. » Les exemples pour améliorer la qualité de vie d'une personne sont innombrables, même si vous n’en trouvez que quelques-uns.
D) Cherchez maintenant comment vous pourriez lui rendre la vie plus facile, plus épanouie et plus saine. Cela peut être quelque chose que vous avez déjà accompli. Cette fois, faites-le objectivement avec l’intention d'améliorer un tant soit peu son quotidien.
E) Observez ce qui s'est passé et voyez si cette étape clé vous a rendu plus heureux. Vous ne remarquerez pas forcément une grosse différence, mais vous vous apercevrez certainement que cela vous a apporté quelque chose.
Exercice n°2
A) Choisissez maintenant entre un voisin, un collègue de travail, un commerçant, un membre de votre association ou de votre club de sport.
B) Faites une liste de toutes les actions qu'elle fait (ou a fait) pour vous rendre la vie saine, plus épanouie et plus facile.
C) Faites ensuite une liste de tout ce que vous avez fait pour elle dans ce sens.
D) Trouvez autre chose que vous pourriez faire pour améliorer sa vie et faites-le.
E) Qu'avez-vous remarqué ? Cela vous a-t-il rendu plus heureux ?
Exercice n°3
A) Faites le même exercice avec un animal de compagnie ou un animal sauvage.
B) Faites une liste de tout ce qu’il fait pour rendre votre vie plus épanouie et/ou plus saine. En y réfléchissant bien, vous allez peut-être découvrir des choses que vous n’aviez pas remarquées avant.
C) Faites ensuite une liste de vos actions qui lui ont rendu sa vie plus saine et plus sûre.
D) Pensez maintenant à ce que vous pourriez faire pour aider cet animal (ou un autre) et faites-le.
E) Vous êtes-vous senti plus heureux ?
Exercice n°4
A) Choisissez un jardin, un parc, une rivière, un lac ou tout autre lieu dans la nature.
B) Faites une liste complète de tout ce que cet endroit a fait pour rendre votre vie plus saine, plus épanouie ou plus facile.
C) Maintenant, faites la liste de tout ce que vous avez fait pour améliorer cet endroit.
D) Trouvez quelque chose d’autre et faites-le. Vous pourriez par exemple ramasser des déchets ou planter un arbre.
E) Qu'avez-vous remarqué ?
Bien entendu, cet exercice peut s’appliquer à tout ce qui appartient à votre écosystème et dont votre survie dépend : votre maison, votre bureau, votre famille, vos amis, votre club, votre quartier, votre voiture, etc.
Dans
la plupart des cas, en venant en aide à cette personne, ce groupe,
cet animal, cet objet ou ce lieu, vous remarquerez que votre propre
bien-être en bénéficie aussi.
L’Écologie coopérative appliquée à la vie
Plus on observe la nature, plus on s’aperçoit que ce principe convient à tous les êtres vivants. Leur capacité à s’épanouir dépend du soin qu’ils apportent à leur écosystème, comme l’exercice suivant vous permettra de le constater.
Exercice final
A) Allez dans votre jardin, un parc, une forêt ou n’importe quel coin de nature, et choisissez deux éléments (par exemple, un arbre et une fourmilière, des champignons et le sol, un aigle et un rocher, la montagne et une cascade).
B) Observez-les attentivement et voyez si vous pouvez découvrir des façons dont l'un rend service à l’autre.
C) Trouvez à présent quelque chose que le second fait pour le premier.
D) Si vous ne remarquez rien, vous pouvez faire une recherche en ligne en demandant : « Est-ce que les fourmis aident les arbres ? » Vous serez surpris de découvrir la quantité d’interactions qu’il peut y avoir entre eux.
Plus on observe ces échanges et ce soutien mutuel entre les êtres vivants, la matière et la nature, plus on prend conscience de l’importance fondamentale de ce principe, a priori très simple et dont la vie dépend.
Ambassadeur
d’Écologie coopérative
Maintenant que vous connaissez le principe d’Écologie coopérative, vous avez sans doute envie de le promouvoir pour que les autres puissent aussi protéger la planète.
Il
existe deux façons d’y parvenir :
a)
soit dans un cadre personnel, en parlant à votre famille ou vos amis
de cette méthode et en les invitant à suivre votre exemple,
b)
soit dans le cadre associatif, en devenant Ambassadeur d’écologie
coopérative de l’association LAEO.
Un
ambassadeur d’Écologie coopérative (CoEco-Ambassadeur) est une
personne
qui applique le principe d'Écologie coopérative dans sa vie et qui
montre aux autres comment l’utiliser.
Pour
devenir ambassadeur, faites-en la demande à LAEO et envoyez par la
même occasion vos réponses aux questions ci-dessus. Une fois vos
exercices validés, nous vous ferons parvenir un diplôme
officialisant votre statut.
Présentation
de LAEO
Fondée par le Dr Lawrence Anthony, l’association à but non lucratif est basée sur la science et la logique. Les membres se consacrent à la restauration d'écosystèmes sains en suivant cinq étapes distinctes :
1) Identifier un problème environnemental important ;
2) Identifier sa source ;
3) Déterminer les solutions pouvant s’appliquer à toutes les parties concernées ;
4) Mettre en œuvre la solution ou la confier à ceux qui en seront capables ;
5) Publier des documents de gestion de projet fondés sur le principe d’Écologie coopérative.
Depuis sa création, les membres de LAEO ont résolu des problèmes aussi divers que :
– le manque de ressources en eau potable pour les communautés ;
– les méthodes de nettoyage inefficaces des déversements d’hydrocarbures de l'industrie pétrolière ;
– la maltraitance des animaux domestiques et des animaux sauvages captifs ;
– la dégradation et la destruction des habitats entraînant la perte d’écosystèmes, menaçant la biodiversité et provoquant l’extinction de nombreuses espèces sauvage ;
– le braconnage résultant de mauvaises conditions économiques dans les communautés défavorisées ;
– les espèces exotiques envahissantes détruisant les écosystèmes indigènes ;
– les pratiques agricoles non durables.
Pour faire avancer ce principe d’Écologie, nous proposons des programmes éducatifs pour tous les âges et dans tous les domaines.
Nous vous invitons à nous rejoindre pour étendre ce mouvement dans le monde entier. En travaillant ensemble, nous pouvons créer une nouvelle ère de prise de décision plus constructive et un monde meilleur.
POUR NOUS CONTACTER :
Siège
social international
Site
: www.EarthOrganization.org
E-mail :
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Siège
social aux États-Unis
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E-mail
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